Pomme

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Approche globale

Chambre d’agriculture, 2017, 60 pages
Le développement des surfaces en agriculture biologique a relancé la sélection d’un matériel végétal adapté aux conditions de production en agrobiologie. Le choix d’une variété repose sur plusieurs critères : l’adaptation au marché et au mode de commercialisation choisi, le système de verger envisagé, la régularité de production, la sensibilité aux ravageurs et aux maladies et enfin, le potentiel de conservation. Deux éléments paraissent   déterminants dans la réussite de la culture du pommier en agriculture biologique : le niveau de sensibilité de la variété vis-à-vis de la tavelure et du puceron cendré.

Inra Gotheron, septembre 2008, 4 pages
En arboriculture biologique, la régularité de la production et la gestion du risque parasitaire posent problème. La lutte directe contre les parasites se révèle souvent insuffisante ou à effet partiel. Il est donc nécessaire de penser le système différemment et de mettre en oeuvre de nouvelles règles d’action.

CIVAM Bio du Gard, 2011, 10 pages
Ce document a été conçu pour des producteurs bio (maraîchers notamment) pratiquant la vente directe de leur produit et souhaitant diversi fier leur gamme de production par la création de vergers diversifiés. Il a la seule prétention de le ur apporter des éléments de réflexion de base pour une création de verger diversifié adapté au mode de production bio, à la vente en circuit court et à une double activité.

Chambres d’agriculture de Rhône-Alpes, 2011, 14 pages
Les techniciens spécialisés bio des Chambres d'Agriculture de Rhône-Alpes ont réalisé un ensemble de fiches technico-économiques bio. Ces fiches sont des outils d'accompagnement des projets d'installation et de conversion.

Fitxa tècnica n° 29, septembre 2010, 4 pages
Dès leur installation, l’objectif était de maîtriser techniquement leur production. La diversité d’espèces fruitières oblige à connaître différentes méthodes de conduite et les spécificités de chaque variété. Ces multiples espèces ne suffisent pas à créer un espace suffisamment diversifié et équilibré. Ainsi, l’introduction de bandes fleuries au sein même des vergers est expérimentée depuis 2008 dans le cadre d’un programme transfrontalié d’échange RedBio.

Economie

CERFRANCE Midi Méditerranée, novembre 2014, 2 pages

CERFRANCE Midi Méditerranée, novembre 2014, 2 pages

CERFRANCE Midi Méditerranée, novembre 2014, 2 pages

CERFRANCE Midi Méditerranée, novembre 2014, 2 pages

CERFRANCE Midi Méditerranée, novembre 2014, 2 pages

Chambres d’agriculture PACA, 2011, 2 p
Description de la parcelle de référence, montant des intrant, du chiffre d'affaire, de la marge brute et du calendrier de travail mensuel

Santé des plantes

Chambres d’agriculture PACA, novembre 2012, 4 pages
Le biocontrôle de l’acarien rouge repose essentiellement sur l’action de micro-acariens prédateurs de la famille des phytoséïdes ou typhlodromes. Le plus souvent, le biocontrôle s’effectue naturellement par le développement spontané des acariens  prédateurs qui est conditionné par l’aménagement de la stratégie phytosanitaire. En  cas d’absence d’acariens prédateurs malgré ces précautions, on peut réaliser des lâchers introductifs.

Chambres d’agriculture de Savoie, 2011, 1 page

Chambre Régionale d’Agriculture PACA, décembre 2013, 4 pages
Initialement utilisées pour protéger les cultures du soleil, les argiles ont montré un intérêt phytosanitaire parallèle. Parmi les argiles, la kaolinite calcinée est ainsi utilisée dans la lutte contre certains bioagresseurs sur plusieurs espèces fruitières. Ses propriétés répulsives ont permis de développer des méthodes de lutte alternative en particulier contre le psylle du poirier, la mouche de la cerise, la mouche de l’olive, le puceron cendré du pommier, avec des efficacités pouvant être partielles pour certains ravageurs. Ces connaissances sont issues des expérimentations conduites sur leur efficacité et leur intérêt.

Fiches techniques SudArbo, 30 novembre 2009, extrait : 2 pages

CEFEL, Emile KOKE, juin 2013, 5 pages.
Evaluer un système de protection physique avec des filets monorang ou monoparcelle pour lutter contre les carpocapses des pommes et des poires et les tordeuses en verger de pommier conduit en agriculture biologique.

Chambres d’Agriculture PACA, septembre 2012, 4 pages
Alt’Carpo est une méthode de protection alternative contre le carpocapse basée sur l’utilisation de filets qui établissent une barrière physique autour des arbres. Son mode d’action est double : un effet « moustiquaire » empêchant les femelles de pondre sur le végétal et un effet global sur l’environnement des arbres perturbant l’accouplement des adultes.

FIBL, 2011, 20 pages
Pour chaque maladie et chaque ravageur, la fiche comprend une illustration et différents sous-chapitres "Comment le reconnaître?", "Important à savoir", "Comment se prémunir?", "Comment lutter directement?". Un plan récapitulatif indique les mesures à prendre pour lutter contre un ravageur donné et à quel moment les appliquer.

Fiches techniques SudArbo, 2012, extrait : 4 pages
Cette fiche présente les principales espèces de pucerons rencontrées sur pommier et poirier, certaines d’entre  elles étant particulièrement redoutables. La faune auxiliaire active sur les pucerons est essentiellement composée de coccinelles, chrysopes, syrphes et parasitoïdes. Elle joue un rôle important sans toutefois suffire face à de fortes dynamiques de populations.

Chambre régionale d'agriculture de PACA, juin 2014, 4 pages
Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Le souffre permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. En attendant une alternative aussi efficace, l’heure est à la réduction et au raisonnement des doses du cuivre af in de limiter son impact environnemental. Ce document expose les préconisations par culture (vigne, pêcher, pommier, poirier, olivier).

Fiches techniques SudArbo, 30 novembre 2009, extrait : 5 pages

Les fiches Techniques du réseau GAB/FRAB, avril 2012, 4 pages
La tavelure du pommier est une maladie fongique qui constitue un défi majeur des producteurs de pommes. L’organisme responsable, Venturia inaequalis, affecte principalement l’aspect extérieur des fruits en produisant des taches brunes. Cependant, dans le cas de branches infectées, la maladie peut aussi encourager la chute prématurée des fleurs et des fruits, accélérer la chute des feuilles et affaiblir l’arbre, entraînant des conséquences économiques importantes.

Gilles Libourel (GRAB), 2011, 3 pages
Il s’agit de pratiquer des aspersions à des périodes et selon des modalités qui ne permettent pas la pénétration du champignon dans le végétal. Le résultat escompté n’a pas été au rendez-vous au terme de 6 années d’essais divers. Mais d’autres informations intéressantes sont apparues.

Sols, fertilisation et irrigation

Infos Ctifl, n° 279, mars 2012, 7 pages
Compte rendu d’étape d’un essai visant à vérifier par la pratique, le principe agronomique de référence en agriculture biologique selon lequel l’état de santé d’une plante est étroitement lié à l’activité biologique du sol qui la nourrit : premiers résultats positifs au bout de 3 ans.

Variétés et porte-greffes

Infos Ctifl, n° 264, septembre 2010, 4 pages
Parmi les variétés de pomme disponibles à la plantation certaines présentent des caractéristiques de rusticité recherchées en AB. Ce sont des variétés porteuses de gènes de résistance aux races communes de tavelure notamment.

CEFEL, 2011

Stades phénologiques d’après Fleckinger (source Ctifl)

Arboriculture fruitière n° 639, juillet-aôut 2009, 3 pages