Poire

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Approche globale

ITAB, novembre 2000, 4 p
Le poirier devient progressivement une espèce secondaire, les surfaces diminuent lentement et régulièrement en France. Il est vrai que la réussite d’un verger de poirier est plus aléatoire que celle d’un verger de pommier. Mais en agriculture biologique, la rusticité relative d’un verger de poirier installé est un atout important qui justifierait un regain d’intérêt pour cette espèce.

Chambres d’agriculture de Rhône-Alpes, mars 2013, 12 pages
Le poirier peut être considéré comme une espèce relativement rustique, mais il présente cependant certaines difficultés quant à la conduite en agriculture biologique; la gestion du puceron mauve est parfois délicate, et la tavelure sur fruits, faute de moyens de lutte efficaces, notamment sur la variété William’s  peut remettre en cause la conduite en AB dans certaines parcelles.

Economie

Chambres d’agriculture de PACA, octobre 2012, 2 pages
Description de la parcelle de référence, montant des intrants, du chiffre d'affaires, de la marge brute et du calendrier de travail mensuel.

Santé des plantes

Chambres d’Agriculture PACA, décembre 2013, 4 pages
Initialement utilisées pour protéger les cultures du soleil, les argiles ont montré un intérêt phytosanitaire parallèle. Parmi les argiles, la kaolinite calcinée est ainsi utilisée dans la lutte contre certains bioagresseurs sur plusieurs espèces fruitières. Ses propriétés répulsives ont permis de développer des méthodes de lutte alternative en particulier contre le psylle du poirier, la mouche de la cerise, la mouche de l’olive, le puceron cendré du pommier, avec des efficacités pouvant être partielles pour certains ravageurs. Ces connaissances sont issues des expérimentations conduites sur leur efficacité et leur intérêt.

Chambres d’Agriculture PACA, sepembre 2012, 4 pages
Alt’Carpo est une méthode de protection alternative contre le carpocapse basée sur l’utilisation de filets qui établissent une barrière physique autour des arbres. Son mode d’action est double : un effet « moustiquaire » empêchant les femelles de pondre sur le végétal et un effet global sur l’environnement des arbres perturbant l’accouplement des adultes.

Chambre d’agriculture du Tarn-et-Garonne, mars 2011, 38 pages
Comment garder ses arbres en bonne santé, à chaque époque et stade de développement ? La lutte contre les maladies et les ravageurs en agriculture biologique repose avant tout sur l’anticipation des difficultés.

FIBL, 2011, 20 pages
Pour chaque maladie et chaque ravageur, la fiche comprend une illustration et différents sous-chapitres "Comment le reconnaître?", "Important à savoir", "Comment se prémunir?", "Comment lutter directement?". Un plan récapitulatif indique les mesures à prendre pour lutter contre un ravageur donné et à quel moment les appliquer.

Fiches techniques SudArbo, 2012, extrait : 4 pages
Cette fiche présente les principales espèces de pucerons rencontrées sur pommier et poirier, certaines d’entre elles étant particulièrement redoutables. La faune auxiliaire active sur les pucerons est essentiellement composée de coccinelles, chrysopes, syrphes et parasitoïdes. Elle joue un rôle important sans toutefois suffire face à de fortes dynamiques de populations.

Chambre régionale d'agriculture PACA, juin 2014, 4 pages

Le cuivre est largement utilisé en viticulture et arboriculture. Avec le soufre, c’est l’un des rares éléments autorisés en agriculture biologique (AB). Le souffre permet de lutter de façon préventive contre de nombreux pathogènes dont il inhibe la germination des spores. Cependant, du fait de son accumulation dans le sol, il peut devenir toxique pour certains organismes qui y vivent. En attendant une alternative aussi efficace, l’heure est à la réduction et au raisonnement des doses du cuivre af in de limiter son impact environnemental. Ce document expose les préconisations par culture (vigne, pêcher, pommier, poirier, olivier).

Fiches techniques SudArbo, 30 novembre 2009, extrait : 5 pages